Le groupe Panique, Antoine Arlot au saxophone alto, Eric Hurpeau à la guitare, Pierre Boespflug au Fender Rhodes, Jean-Luc Déat à la basse éclectrique et Charlie Davot à la batterie, montait sur la scène de la Friche Laiterie à 18h le vendredi 16 novembre.
Ce n’était que le troisième concert du groupe originaire de Nancy, formé il y a quelques mois à peine.
Si le groupe ne revendique pas son influence directe, on ne pouvait s’empecher de penser aux formations Masada de John Zorn, acoustique et électrique, notamment de par l’utilisation du Fender Rhodes, de la basse et de la guitare électrique, et meme si Eric Hurpeau, qui jouait de cette dernière, était au niveau du son comme du jeu plutot Frisell que Ribot. Zorn, du reste, n’était jamais très loin lorsque l'on observait Antoine Arlot, par ailleurs excellent, se contorsionner faisant hurler son saxophone sur des morceaux dont la structure, avec thème très marqué précédent des moments d'improvisation, faisait là encore échos à l' Acoustic Masada.
Certains titres lorgnaient quant à eux du coté du rock progressif et de Soft Machine, avec ces thèmes joués à l’unisson entre le saxophone et la guitare.
Ce n’était que le troisième concert du groupe originaire de Nancy, formé il y a quelques mois à peine.
Si le groupe ne revendique pas son influence directe, on ne pouvait s’empecher de penser aux formations Masada de John Zorn, acoustique et électrique, notamment de par l’utilisation du Fender Rhodes, de la basse et de la guitare électrique, et meme si Eric Hurpeau, qui jouait de cette dernière, était au niveau du son comme du jeu plutot Frisell que Ribot. Zorn, du reste, n’était jamais très loin lorsque l'on observait Antoine Arlot, par ailleurs excellent, se contorsionner faisant hurler son saxophone sur des morceaux dont la structure, avec thème très marqué précédent des moments d'improvisation, faisait là encore échos à l' Acoustic Masada.
Certains titres lorgnaient quant à eux du coté du rock progressif et de Soft Machine, avec ces thèmes joués à l’unisson entre le saxophone et la guitare.
C’était bien dans les morceaux les plus vifs que Panique était le plus à l’aise, avec un Antoine Arlot tour à tour agressif et lyrique, entouré par de très bons musiciens dont la cohésion y gagnera probablement avec les concerts.
En attendant, ne vous privez pas d'écouter les quelques titres disponibles sur leur site Myspace et pour plus d'informations rendez-vous sur leur excellent site officiel, ou vous pourrez écouter l'intégralité de leur concert au Nancy Jazz Pulsation 2006. Voici les liens :
A 22h, Akosh S. aux saxophones, clarinettes et percussions leur succédait sur la meme scène , accompagné par Gildas Etevenard à la batterie et percussions, pour un voyage de presque une heure et demi dans les paysages d’Europe de l’Est. Etevenard s’est fait particulièrement remarqué lorsqu’il joua sur cet instrument percussif à cordes dont jouent les femmes dans une vallée de Moldavie, le gordon. Un très beau concert qu’il fallait apprécié détendu et déconnecté du quotidien.
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